
- Sous le soleil implacable d’un désert sans fin, se dressent des monuments qui ne sont ni tout à fait antiques, ni totalement futuristes. Là où jadis s’élevaient les pyramides, surgissent désormais d’immenses colosses mécaniques aux visages de pharaons, leurs yeux d’onyx scintillant d’une lueur artificielle.
- Les colonnes sont gravées de hiéroglyphes luminescents, chaque symbole vibrant d’une énergie dorée pulsant comme un circuit ancien. Les statues de dieux à tête de faucon, de chacal ou de scarabée ne sont plus de simples pierres figées : ce sont des sentinelles d’acier, couvertes d’or terni et de sable, dont les articulations grincent comme des tempêtes de dunes.
- Le champ de bataille devient une nécropole vivante : dunes mouvantes, fragments d’armures titanesques semi-enterrées, et portes monumentales ouvrant sur des tombeaux mécaniques. Ici, chaque ruine peut s’animer, chaque statue peut se révéler être une arme, et chaque pierre n’est qu’une partie d’un mécanisme oublié, prêt à se réveiller pour défendre la gloire immortelle d’un empire hybride — à la fois pharaonique et robotique.